Haute-Garonne : menacée d’une arme, elle est enlevée et violée

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Le 24 septembre dernier à  Toulouse, une femme d’une trentaine d’années a été enlevée et violée alors qu’elle rentrait chez elle. Deux suspects ont depuis été interpellés.

Le 24 septembre dernier à  Toulouse, une femme d’une trentaine d’années a été enlevée et violée alors qu’elle rentrait chez elle. Deux suspects ont depuis été interpellés.

Les faits ont eu lieu il y a près de deux semaines, le samedi 24 septembre dernier à  Toulouse (Haute-Garonne). Il était aux alentours de 20h00 et une femme d’une trentaine d’années rentrait chez elle en voiture. C’est alors que cette trentenaire se trouvait devant sa résidence qu’elle a été abordée par deux individus. La Dépêche du Midi (article complet réservé aux abonnés) rapporte que ces derniers ont pris possession du véhicule en menaçant la femme d’une arme.

Les deux agresseurs ont contraint la trentenaire à  remonter dans la voiture. Après quelques minutes de route, tous les trois sont arrivés à  Vieille-Toulouse. C’est là  que la victime a été violée, et également frappée au moyen de l’arme à  feu. Abandonnée dans la rue, la femme a reçu l’assistance d’un passant. Les gendarmes de la compagnie de Villefranche-de-Lauragais ont été alertés dans la foulée, et une vingtaine de forces d’avoir été mobilisées dans les recherches.

La brigade de recherches de la gendarmerie a travaillé de concert avec les forces de l’ordre de Toulouse, et les militaires d’indiquer que les deux suspects, «en situation irrégulière», ont finalement été repérés et appréhendés. L’ADN récupéré par les autorités a permis l’interpellation de l’un des mis en cause, déjà  connu des services de police. Une unité de la brigade anti-criminalité (BAC) a procédé à  cette opération alors que l’individu était au volant de la voiture de la victime.

La brigade spécialisée de terrain (BST) a appréhendé l’autre suspect quelques heures plus tard. Mercredi, ces deux hommes de 18 et 21 ans ont été présentés au parquet de Toulouse, puis mis en examen pour «enlèvement et séquestration» et pour «viol sous la menace d’une arme». Un duo qui a depuis été incarcéré.

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