Madagascar, l’avortement reste un crime, même pour raisons médicales

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Une vingtaine de pays dans le monde interdisent encore strictement l’interruption volontaire de grossesse, même dans les cas les plus extrêmes : viol, inceste ou mise en danger de la vie de la mère. Madagascar, les femmes et les praticiens encourent entre 6 mois et 10 ans d’emprisonnement, un héritage du code napoléonien de 1810. Depuis 2017, des associations se battent pour dépénaliser l’interruption thérapeutique de grossesse.

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